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Ariadne Teresa Balsey

NOM : Balsay depuis sa naissance, son père s'appelait ainsi et sa mère grâce à son mariage. La jeune femme n'étant pas mariée, elle garde son nom de jeune fille. PRÉNOM(S) : Ariadne est un prénom à l'orthographe peu commune. Mais Ariadne n'est pas une fusée, c'est une déesse. Oui, cette femme est faite pour vivre de grande chose et de suivre son fil. Teresa est le prénom de sa tante, sa marraine. Simple prénom pratique. ÂGE : 24 étés. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Jacksonville, le 14 Août. PROFESSION/ÉTUDES : étude d'architecte à Paris TRAITS DE CARACTÈRE : lunatique - calme - sérieuse - hésitante - attachante - optimiste - rêveuse - intelligente - logique - determinée. GROUPE : écrire ici. TOTEM : pièce d'echec (qu'elle a fabriquée elle même bien sur.) AVATAR : ellen page.

Quel est votre avis sur l'extraction ? c'est un étrange processus. Lorsqu'on pénetre la barrière des rêves, la vie, la réalité devient différente. Quand on peut dépasser la limite du possible, plus rien ne reste pareil dans notre conception du monde. L'extraction n'est pas une chose que je pensais possible. Ni que j'aurais aimé faire. Mais si c'était la seule façon pour moi de replonger dans ce monde qui m'épanoui, alors je replongerais. Certains s'enfonce dans la drogue et l'alcool, moi je me plonge dans des rêves, effrayée de finir comme Mal.Si vous pouviez créer un rêve pour vous y plonger, quel serait-il ? une terasse parisienne où je m'amuserais à jouer avec les batiments haussmanien et en entrant à la gare saint lazare, je jouerais avec les escaliers histoire de les emmener dans l'opera avant d'emmener chatelet les halles juste à côté de moi. Êtes-vous encore capable de rêver ? Si non, vous arrive-t-il d'utiliser la technologie du rêve pour le faire ? je ne rêve que quand je suis extremement fatiguée. sinon, mes nuits sont noires comme la nuit.

Rêve. Cauchemar. Peur. Les yeux d'Ariadne s'ouvrirent derechef. La surprise la foudroya sur place, si bien qu'elle se retrouva assise sans savoir comment ses membres s'étaient redressés. La main posée sur son front, elle retirait la fine épaisseur de sueur qui la dérangeait. Elle laissa quelques larmes s’échapper, c'était si réel... Par reflexe elle fi tourner son totem. Pas de soucis, elle était dans la réalité...

Elle marchait dans un immeuble, sa pièce d'échec en main, qu'elle serrait si fort que les jointures de ses mains rosirent. A l’affût du moindre bruit, elle regardait autour d'elle les débris causés par l'eau. Les corps amassés sous le bois emporté. Et, devant elle, hurlant à tout poumons, la main sur le torse, son frère à l'agonie. Elle se précipita vers lui avant de voir une vague d'eau s'effondrer sur eux...

De sa main droite, elle chassa toutes les larmes de ses joues pales. Elle avait besoin de sortir. Un pied après l'autre, elle balança ses jambes hors du lit, et s’échappa dans la salle de bain. Se glissant dans la douche, Aria attrapa un gel douche et appuya sur le bouton d'eau tiède afin de se laver. Avec acharnement, elle frotta chaque parties de son corps comme pour retirer le reste de son cauchemar. Elle se calma lentement, en observant le savon couler dans le conduit d'eau... Elle avait besoin d'aller au cimetière aujourd'hui. Pour Hugo, son frère.

Les cheveux encore mouillés, elle enfila un pull et un jean sombre avant de mettre des bottes pour sortir rue Rivoli. Son totem dans sa poche arrière gauche, elle prit son sac avant de partir affronter la fraîcheur du mois de Mars, un trench au bras, un sac de l'autre. Il était tôt, dans les environs de 6 heures et demi. Un vent glacé vient caresser la joue rougi d'Ariadne, qui s'empressa de passer son manteau. Le fleuriste n'ouvrait qu'à 7 heures, elle avait donc le temps d'aller échanger du dollar contre de l'euro la banque et d'aller prendre un café dans un starbuck. Elle revenait de vacances chez un ami à Jacksonville. Elle allait devoir reprendre une vie normale. Et cela ressemblait à l'impossible. Elle avait dérobé quelques sedatifs afin de plonger dans des rêves sans limites.

« Quelle couleur ? » Devant elle se trouvait une diversité de fleurs qui lui coupait le souffle. Les odeurs s'entouraient et elle refusa les rouges. Elle ne voulait pas une couleur de sang, ça ramènerait trop de souvenirs. Ni de roses roses, elle détestait cette couleur. Blanche, oui. Paix. Son frère avait besoin de paix, d'être en paix. Elle paya son choix, puis marcha sous les gouttes de pluie typiquement Parisienne pour se rendre au cimetière.

Le vent glaçait son sang. Elle se plia légèrement afin de poser sur la tombe les quelques fleurs. Un léger sourire de satisfaction se posa sur ses lèvres, et une larme perla sur sa joue, c'était mieux. Elle resta quelques instants, un genou au sol, observant le marbre gravé. Puis, elle se releva, recula de trois pas pour regarder la tombe, ses mains tremblantes, avant de clore les yeux et de rassembler toute la paix qu'elle avait en elle pour...

LA PERSONNE DERRIÈRE L'ÉCRAN:

Bienvenue alors j'aime beaucoup l'avatar que tu as pris
hate de voir ce que tu vas faire du personnage

Bienvenue à toi
Pareil j'ai hâte de voir ce que tu vas faire du personnage Si tu as une question, n'hésite pas

Bienvenue et plussun à tout le reste


Je suis impatiente de lire tout ça

merci
que de beaux mâles ici, j'espère ne pas vous décevoir

Je ne vais pas te contredire
Dommage ils sont tous gays

Erreur, je ne suis pas gay
Et je connais un certain Arthur qui se fera un plaisir de te contredire également

eh bien moi je me porte esclave pour ces gays non dévoilés

je prends
parce que non je le suis pas parles pas à ma place

Bon bah je prends aussi, pas le choix, va falloir que je supervise tout ça

Non désolé moi j'assume très bien mon homosexualité

Je laisserai les deux autres homos se battre pour toi

Bienvenue à toi ! Non je suis la en femme, juste que j'ai pas mis de sublime avatar

Mais ça ne saurait tarder, je compte bien faire mon avatar ET ma fiche ce soir