Arthur Jonathan Wenscombe

NOM : Wenscombe PRÉNOM(S) : Arthur Jonathan ÂGE : 28 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE 19 Mars , Chicago , USA PROFESSION/ÉTUDES : Point Man TRAITS DE CARACTÈRE : Organisé - Loyal- Rancunier- Meticuleux - Professionnel- Trop sérieux - Attentif - Prudent - Coincé - Attentionné - Cultivé - Introverti - Courageux - Suceptible. GROUPE : Extractors TOTEM : un dé truqué AVATAR : Joseph Gordon Levitt

Quel est votre avis sur l'extraction ? Ce n’est certainement pas le boulot le plus légal ou droit qui existe, ça Arthur ne peut pas vraiment s’en défendre, mais il y a trop de possibilité possible pour qu’il laisse les lois ou la morale tout gâcher. Et puis entre voler un coffre-fort, menacer quelqu’un ou simplement extraire les informations de son subconscient, c’est quand même la dernière option qui est la plus humaine non ? Vu que techniquement parlant ça ne fait de mal à personne. Si vous pouviez créer un rêve pour vous y plonger, quel serait-il ? Aucun en particulier, sa vie lui plait tel qu’elle, et s’il apprécie d’y être lorsqu’il s’agit de rêve d’autres personnes, il n’en a aucun à lui. Êtes-vous encore capable de rêver ? Si non, vous arrive-t-il d'utiliser la technologie du rêve pour le faire ? De temps à autre, mais rarement de façon très concluante, mais ça ne lui manque pas plus que ça, il n’a jamais eu une imagination débridé et ses rêves étaient loin d’apporter ce qu’il a aujourd’hui avec son boulot .

De l’imagination ? Il venait bien de lui dire que c’était ce qu’il lui manquait ? Arthur devait reconnaitre que ce n’était pas la première fois qu’il l’entendait, il entendait encore ses professeurs de la fac lui reprochait d’être trop terre à terre, de trop prendre exemple sur la réalité, évidemment, il ne devait pas être trop fantasque pour ne pas se trahir, mais là, il n’allait pas assez loin, tout était trop pointilleux, trop détaillé, bien trop pour un simple rêve. Jamais le jeune homme n’aurait cru se voir refuser pour, en citant ses mots exactes, « Manque d’imagination et mauvais gout » il ne savait pas ce qui le vexer le plus au fond. Seulement l’homme en face de lui ne semblait pas vouloir le renvoyer à ses études d’Architecture, où alors renvoyer quelqu’un avait le don de lui mettre un sourire sur le visage et ça n’avait rien de rassurant. Arthur avait le visage fermé, pas parce qu’il s’était planté ou parce qu’il venait de se faire critiquer non, parce qu’il n’arrivait pas à croire qu’il avait pu rater une opportunité comme celle-là, imagination ou non, il tenait vraiment à en savoir plus là-dessus. Il voulait jouer un rôle, il voulait y retourner, c’était trop tentant d’avoir ce genre de monde à porter de main et de simplement jouer les touristes, il voulait plus que ça. « Arrêtes de le torturer et dis-lui plutôt ce que tu as en tête » la voix féminine lui fit détourner le regard de son employeur pour les poser sur sa femme. Il ne l’avait vu que deux ou trois fois depuis qu’elle était venu le chercher à la fac. Qu’est ce qu’elle voulait dire par lui dire ce qu’il avait en tête ? Qu’avait-il prévu pour lui ? Arthur reposa les yeux sur l’homme, réussissant à garder une expression neutre, mais il était impatient, tout n’était pas fini ? Il avait le droit à une seconde chance ? « On ne peut pas te prendre comme architecte, ça c’est certain mais … »

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« Un casino ? Comment veut-il trouver quelqu’un de fiable là-dedans » siffla t’il entre ses dents avant de rentrer. Cobb avait beau lui assurer que c’était le meilleur, Arthur était convaincu que d’avoir un joueur dans l’équipe c’était prendre des risques ; Seulement, en plus d’être son patron, Arthur avait une confiance aveugle en Cobb, et si ce type était celui qu’il leur fallait, et bien il ferait avec. Il n’avait rien contre les casinos, il n’était pas contre jouer de temps en temps, mais si on pouvait trouver ce « Eames » là-bas, en pleine journée, c’était qu’il devrait être légèrement accro, et ça, ça ne rassurait pas Arthur quant à ses compétences. Une fois à l’intérieur, il ne mis pas longtemps à trouver l’homme donc il lui avait parlé. Il devait reconnaitre que d’aspect, il ne payait pas de mine, et pourtant il l’avait remarqué tout de suite. Soupira longuement comme pour prendre des forces, il se dirigea vers la table de jeu. Quoi qu’il pense de ce type, il devrait faire avec, même s’il doutait un seul instant de pouvoir le supporter.

Arthur ouvrit les yeux, c’était plus un souvenir qu’un vrai rêve, mais il saurait s’en contenter. Il se tourna légèrement pour voir la personne à côté de lui. Ne pas pouvoir le supporter ? Comme quoi heureusement qu’il ne restait pas toujours sur ses premières impressions. Bon, ok, il avait encore du mal quand Eames le cherchait, mais il avait su passer là-dessus, et il n’allait pas s’en plaindre. Sans regarder, il chercha sur la table de nuit à tâtons et en sortie un dé rouge qu’il fit tourner entre ses doigts. Tricher n’était pourtant pas dans ses habitudes, mais il devait reconnaitre que ça pouvait être utile au cas où. Et il aimait la couleur. Se tournant vers la table de nuit, il fit rouler le dé dessus. Alors quel chiffre aller sortir ?

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Arthur soupira longuement en voyant Cobb sortir de la pièce. Eames ? Il fallait qu’il aille chercher Eames ?! Ce n’était même pas le fait que ce soit à Mombasa et que Cobb ne manquerait surement pas de se faire remarquer par Cobol là-bas ; non c’était juste qu’il aille devoir supporter Eames sur une mission plus qu’importante ; ça n’allait pas être facile de rester concentrer sur son boulot avec lui dans ses pattes. Pourquoi fallait-il qu’il soit si doué dans son boulot ? S’il avait été aussi doué en tant que faussaire que dans ses relations, ce n’était pas lui que Cobb serait allé chercher. Il rangea le matériel sans ménagement, sur le point de vue technique, ça serait parfait, même la petite architecte que Cobb était allé chercher semblait avoir assez de potentiel pour une mission comme celle-là, mais d’un autre point de vue, savoir qui était dans cette équipe le mettait sur les nerfs alors qu’il n’avait même pas encore quitté Mombasa. Arthur détestait ne pas être maitre de ses émotions et avec Eames dans les parages c’était déjà raté d’avance, rien que sa présence dans la pièce suffirait à lui prendre la tête. Il ferma la valise un peu trop brusquement et se releva. Mais comme d’habitude, il ferait avec, parce qu’il avait confiance en Cobb et que s’il avait réellement besoin d’un faussaire, ils ne trouveraient pas mieux qu’Eames , ça il était bien obligé de l’admettre.

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Il hésita un instant à enlever sa veste , puis décida finalement de la garder , il n’allait pas tarder à ressortir de toute manière , à force d’enchainer les boulots , il avait l’impression de ne même plus vivre dans son propre appartement , c’était assez usant à la longue , mais c’était comme ça , et il n’avait pas prévu d’arrêter pour autant. S’il avait fait une courte pause après l’intention de Fischer, Arthur avait repris très vite, incapable de s’en tenir éloigné bien longtemps. D’un pas rapide, il se dirigea vers son répondeur, n’étant au fond passer que pour ça. L’objet électronique clignotait légèrement ne lui annonçant que deux messages. Le première venait de son dressing qui avait enfin retrouvé son veston, Arthur secoua la tête, agacé qu’il ait pu le perdre, on ne pouvait pu faire confiance à personne de nos jours ; le deuxième le laissa cependant bien plus perplexe."Arthur?" Il mit quelques secondes avant de réaliser , et un leger sourire finit par barrer son visage en reconnaissant la voix "Appelle-moi si tu as un boulot pour moi."
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LA PERSONNE DERRIÈRE L'ÉCRAN: